La lettre est téléchargeable en bas de page en français, anglais et italien !
(et bientôt en allemand et d’autres langues si nécessaire et demandé !)
Pourquoi une énième lettre ?
Suite à la folie des tests PCR dans les écoles, j’ai voulu leur envoyer un courrier. N’ayant pas trouvé ce que je cherchais sur internet, je l’ai donc fait moi-même !
Une lettre avec des arguments et des sources fiables.
Pourquoi une énième action ?
Ceux qui nous dirigent veulent nous avoir à l’usure. Cependant, nous sommes plus nombreux, ils se fatigueront donc avant nous ! Il faut continuer les actions encore et encore jusqu’à ce que la vérité remplace enfin les mensonges.
Nous devons tenir bon ! Pour les enfants !
Qui peut envoyer la lettre ?
Tout le monde ! Tout le monde peut envoyer ou donner cette lettre aux professeurs et directeurs d’école. D’autant plus que la campagne de vaccination des 5-11 ans a sérieusement démarré !
Même en tant qu’élève, vous pouvez l’envoyer ou l’imprimer et la distribuer aux professeurs et autres élèves.
LE NOMBRE FAIT LOI !
Plus le nombre de lettres sera important, plus nous aurons gain de cause !
Rappelez-vous les tonnes de lettres que les parents adoptifs d’Harry Potter ont reçu avant de capituler et le laisser aller à Poudlard… 😉

Voilà, donc s’il vous plaît, PARTAGEZ cette lettre EN MASSE !
Pour les enfants.
Même si vous en avez déjà envoyé une, elle est sûrement différente. La répétition est la meilleure des méthodes pédagogiques.
Par avance, merci du fond du cœur pour les enfants ! Ensemble, nous gagnerons !
Gerry
P.S. : S’il vous plaît, aimez nos publications, abonnez-vous à nos réseaux sociaux, et partagez le lien du site internet plutôt que le document Word. Merci par avance pour votre aide, nous avons passé un certain nombre d’heures à travailler sur ce sujet ! 😉
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Nom et Prénom de l’expéditeur
Adresse
Numéro de téléphone
Adresse e-mail
Nom du destinataire
Fonction
Adresse professionnelle
(Ville), le (date)
Monsieur – Madame (titre)
Vous appliquez les mesures gouvernementales sur la gestion de la crise du « Covid 19 »…
Mais combien avez-vous eu d’enfants malades avec symptômes du « Covid 19 » dans votre établissement ?
Combien de décès parmi vos élèves ?
D’après les études effectuées, le pourcentage des enfants touchés par cette maladie est quasi nul.
Savez-vous que les enfants ne transmettent pas le virus ?
Savez-vous que l’inventeur des tests PCR, le biochimiste Kary Mullis, a dit que ces derniers ne servaient pas à détecter la maladie ?
Pourtant, les tests PCR ont fait leur apparition dans les écoles en ce début d’année.
En revanche, le port du masque est nocif pour la santé physique et mentale des enfants.
Voici des données, facilement vérifiables, d’une importance capitale pour leur vie et leur avenir.
1/ Les enfants ne meurent pas du « Covid 19 »
« L’étude de la littérature internationale démontre que les enfants ne sont pas menacés par cette épidémie.
Toutes les séries rapportées, tous les relevés nationaux et internationaux confirment tous que le Covid-19 est rare et presque toujours bénin chez l’enfant, et qu’il risque moins avec le Covid-19 que la grippe saisonnière.
Aucun mort uniquement dû au Covid-19 n’a été recensé en France depuis quinze mois sur près de douze millions d’enfants âgés de moins de quinze ans (les trois morts testés PCR positifs étaient de grands immunodéprimés) alors que la grippe a fait en moyenne 8 victimes annuelles dans ce groupe d’âge.
L’OMS confirme que les enfants ne risquent pratiquement rien. »
Source : https://docteur.nicoledelepine.fr/stoppons-en-urgence-la-vaccination-anticovid-chez-lenfant/
Autre source : https://www.nexus.fr/actualite/analyse/enfants-covid-19-gerard-delepine/
2/ les enfants ne transmettent pas le « Covid 19 », ni entre eux ni aux adultes
« Les médias et le gouvernement tentent de nous effrayer avec des enfants dépistés positifs, mais ne précisent jamais que les asymptomatiques dépistés « positifs » ne sont pas des malades, n’excrètent pas le virus et ne peuvent donc pas contaminer leur entourage.
Sur les plus de 11 180 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid-19 répertoriés par PubMed le 9/4/2021 et les 1794 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ni à un adulte dans le monde réel.
Certes des enfants scolarisés peuvent être malades ou testés positifs, mais chez les asymptomatiques, il s’agit le plus souvent de faux positifs (plus de 90 %), ou d’infections anciennes qu’ils ont contractées à domicile et dont ils ont guéri.
La fréquence de ces faux positifs chez les asymptomatiques est considérable : 97 % des cas lorsque le test PCR est réalisé avec un nombre de cycles d’amplification trop élevé). L’OMS a récemment recommandé de toujours considérer l’état clinique avant d’interpréter un test qu’elle ne juge pas utile pour un dépistage massif.
La parfaite inutilité des dépistages systématiques a été démontrée par les plus massifs d’entre eux, celui de Wuhan portant sur près de 10 millions de Chinois : aucun des asymptomatiques PCR positifs ne s’est révélé excréteur de virus, n’est devenu malade ni n’a contaminé quiconque.
Les transmissions scolaires sont possibles, mais toutes celles qui ont fait l’objet d’une enquête épidémiologique sérieuse montrent qu’elles sont liées au personnel adulte. Comme les enfants sont innocents de la transmission de la maladie, leur vaccination, même si elle était efficace et sans danger, ne servirait à rien pour protéger les autres.
Quel bénéfice-risque quand la maladie est absente dans cette tranche d’âge ? »
Source : https://docteur.nicoledelepine.fr/stoppons-en-urgence-la-vaccination-anticovid-chez-lenfant/
3/ Les tests PCR ne sont pas fiables
En ce qui concerne les tests PCR, savez-vous ce que son inventeur, le prix Nobel en chimie, le Dr Kary Mullis, en dit ?
« N’importe qui peut être testé positif pour pratiquement n’importe quoi avec un test PCR, si vous le faites assez longtemps avec le PCR, si vous le faites bien, vous pouvez trouver presque n’importe quoi chez n’importe qui. Ça ne vous dit pas que vous êtes malade. »[1]
Autre témoignage, du Dr Peyromaure : « La majorité des tests positifs aux enfants sont des rhumes. Nous sommes surtout face à une épidémie de tests frauduleux qui déclarent même vos rhumes en covid-19. »
4/ Le port du masque est dangereux pour la santé physique et mentale des enfants
« Le port du masque a également bien des effets délétères sur les apprentissages à la fois du langage oral et du langage écrit. En effet, nous observons un risque accru d’erreurs dans l’apprentissage grapho-phonémique. En 2021, une étude [1] a montré que les enfants qui possédaient une conscience phonologique fragile étaient aidés par la lecture labiale. La lecture labiale disparaissant sous le masque, l’écart de performances entre les forts et les faibles a augmenté.
Le port du masque chez les enfants entraîne une moins bonne oxygénation du cerveau entraînant des maux de tête possibles, des difficultés de concentration et des capacités intellectuelles et attentionnelles amoindries.
Le port de lunettes est compliqué du fait de l’apparition de buée : beaucoup d’enfants abandonnent leurs lunettes, ce qui entraîne une aggravation de leurs problèmes visuels.
Enfin, les protocoles sanitaires et notamment le masque rappellent sans cesse à l’enfant la situation anxiogène du Covid-19 entraînant une anxiété, une baisse de l’envie d’aller à l’école, voire des phobies scolaires. »
Autre témoignage, d’une Psychologue clinicienne et psychothérapeute, Marie-Estelle Dupont, sur les effets des masques sur les petits enfants :
« 25% des hospitalisations en pédiatrie étaient des hospitalisations en pédopsychiatrie »
« 22% de QI en moins depuis le début de la crise chez les enfants »
« (…)Aussi bien moi que des professionnels de la petite enfance, le collectif des orthophonistes, le collectif de santé pédiatrique avons constaté des retards de parole très importants, pourquoi ?
Parce qu’un bébé apprend à parler en imitant les mouvements de la bouche et quand votre bébé est à la crèche de 8h à 18h30 avec des adultes qui ont un masque, quand il arrive à l’école maternelle eh bien son stock lexical est terriblement appauvri et ce sont des enfants qui arrivent en maternelle en ne parlant pas.»
Source : https://crowdbunker.com/v/sTxf83wm
…
En conclusion, puisque les enfants ne courent aucun risque et qu’ils ne transmettent pas la maladie, pourquoi leur faire porter un masque et les tester ?
Madame, Monsieur……………., s’il vous plaît, vérifiez ces données par vous-même. Faites-vous votre propre opinion et agissez en votre âme et conscience.
Soyez aussi conscients que ces mesures violent de nombreux textes de lois fondamentaux. Veuillez les trouver en annexe de cette lettre.
Vous avez une responsabilité et du pouvoir. Vous pouvez dire NON à tout cela. Le nombre fait loi. Unissez-vous à vos collègues, soyez un maximum à dire NON.
Protégeons les enfants. Ils sont l’avenir de l’humanité, ils ont besoin de nous.
Par avance, merci pour eux.
Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, à l’expression de nos salutations distinguées et préoccupées.
(Signatures)
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ANNEXE
Textes de loi violés par ces mesures dites « sanitaires »
- Constitution française :
- Le premier alinéa du préambule de la Constitution de 1946 garantit à chacun, et notamment à l’enfant, la protection de la santé (https://www.conseil-constitutionnel.fr/les-constitutions-dans-l-histoire/constitution-de-1946-ive-republique).
- Traités, conventions internationales, droit de l’Union européenne et Conseil de l’Europe :
- Le Code de Nuremberg concernant les expériences médicales acceptables, utilisé par le Comité consultatif national d’éthique à l’appui et en annexe de son avis n° 2 du 9 octobre 1984 sur les essais de nouveaux traitements chez l’Homme (https://www.inserm.fr/sites/default/files/2017-11/Inserm_CodeNuremberg_TradAmiel.pdf et https://www.ccne-ethique.fr/docs/fr/avis002.pdf).
- Les articles 1er et 3 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne rappelant, notamment, la nécessité d’obtenir un consentement libre et éclairé dans le cadre de tout acte médical (https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:12016P/TXT&from=HU). La même charte prévoit, dans son article 21, l’interdiction de toute discrimination, notamment fondée sur les opinions.
- La Convention d’Oviedo pour la protection des droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine signée le 4 avril 1997 et son Protocole additionnel relatif à la recherche biomédicale (STCE No. 195), dans ses articles 5, 13 et 16 (https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000026151968 et https://www.coe.int/fr/web/bioethics/oviedo-convention).
- Article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’Homme adoptée le 19 octobre 2005 par les États membres de l’UNESCO (https://www.cairn.info/revue-internationale-des-sciences-sociales-2005-4-page-811.htm%2523) relatif au consentement requis pour toute intervention médicale à caractère préventif, diagnostique ou thérapeutique.
- Articles 25 à 31 de la Déclaration d’Helsinki de l’Association médicale mondiale signée en juin 1964, amendée depuis lors et énonçant les principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains et plus précisément sur le consentement éclairé (https://www.edimark.fr/Front/frontpost/getfiles/4389.pdf).
- Un très récent règlement européen, adopté le 14 juin 2021 (Règlement 2021/953 du 14/6/2021) qui prévoit notamment qu’il y a lieu “d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées”, quelle qu’en soit la raison, y compris lorsque ces personnes ne souhaitent pas se soumettre à ces injections (https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32021R0953&qid=1627156510823&from=FR – Considérant [36]). Ce même règlement rappelle (Considérant [62]) que les droits fondamentaux découlant de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne.
- Enfin, le Conseil de l’Europe dont émane la Déclaration des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales (https://www.echr.coe.int/documents/convention_fra.pdf) au sein des 47 États membres a adopté une importante résolution rappelant à nouveau l’interdiction de toute obligation vaccinale, de toute pression ou de toute discrimination (https://pace.coe.int/pdf/840ad2aa894c5aaa7dc1bcee5db8b64f93c90dcce035b1fc030b116275eab9a2/r%C3%A9solution%202361.pdf – Art. 7.3.).
Ces dispositions internationales ne peuvent pas être modifiées unilatéralement par le gouvernement français, même au bénéfice d’une “urgence” qui reste pour le surplus à démontrer.
- Lois et réglementation françaises :
- Article 16 du Code civil (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006419320)
- Article 225-1 du Code pénal (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000033461473 interdisant toute discrimination ou distinction entre les personnes physiques notamment en fonction de leur état de santé, de leurs caractéristiques génétiques ou de leurs opinions. En vertu de l’article 225-2 du même Code pénal [https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000033975382] ces discriminations sont punies de 3 ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende lorsqu’elles consistent notamment à refuser la fourniture d’un service [Art. 225-2-1°], à refuser d’embaucher ou à sanctionner ou licencier une personne [Art. 225-2-3°] ou à subordonner une offre d’emploi, une demande de stage ou une période de formation à une condition constituant une discrimination [Art. 225-2-6° du Code pénal].
- Article L1111-4 du Code de la Santé publique [https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000041721056/] et l’article R4127-36 du Code de la santé publique [https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000032973595] imposant de respecter le consentement de la personne concernée soumise à un traitement médical.
- Notez par ailleurs qu’une protection toute particulière est instaurée au profit des mineurs en vertu de l’article R4127-42 du Code de la santé publique [https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043588175/].
[1] “Anyone can test positive for practically anything with a PCR test, if you run it long enough with PCR if you do it well, you can find almost anything in anybody. It doesn’t tell you that you’re sick.”
Crédit photo : AHIGA / La Rose Blanche